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Ligue 1

OM : Eyraud, McCourt, Garcia…René Malleville n’épargne vraiment personne

Au lendemain de l’élimination en 8e de finale de la Coupe de la Ligue, face à Strasbourg lors de la séance de tirs au but, le supporter de l’OM, René Malleville, n’a pas loupé les joueurs.

Ni les dirigeants.

C’est une chronique bien connue pour les supporters marseillais. Celle de René Malleville au lendemain des matches de l’OM pour le compte du site Le Phocéen. Après une nouvelle défaite, et cette fois en Coupe de la Ligue contre le RC Strasbourg, ce supporter pas tout à fait comme les autres a fait part de son profond désarroi.

Et attend clairement des décisions fortes dans les tous prochains jours.

‘C’était affligeant. L’état d’urgence est déclaré, je me demande màªme jusqu’où on peut descendre ? Hier, on assiste au match, comme le dernier : en bois. On ne sait màªme pas quelles décisions vont àªtre prises pour mettre fin au déluge, au tsunami qui est en place. 8 000 spectateurs hier au Vélodrome, moins que pour Limassol ! On va à la catastrophe, messieurs. A Angers, si on perd, Garcia aura le temps de prendre des vacances. Màªme si on gagne, je me demande d’ailleurs si il va rester.

Tout à§a, c’est incompréhensible. Des mecs qui s’en foutent complètement sur le terrain. Mais où on va les gars ? Messieurs, vous n’àªtes pas apte à rester à l’OM. Vous avez été lamentables. Payet ? Tu me rates deux pénaltys. Et sur le deuxième, il sourit…Mandanda ? Les pénaltys strasbourgeois étaient très bien tirés.

Moi, j’espère que McCourt va prendre des décisions. Eyraud ? On ne l’entend pas, à§a m’énerve. Garcia ? Tu nous prends pour des cons en disant que les plus grands ont raté des pénaltys ? Deux dans le màªme match, j’en connais pas beaucoup. Il faut taper, il faut couper. On ne va pas rester comme à§a jusqu’à la fin de la saison. L’OM sans ses supporters, ce n’est plus l’OM; Sans vous, messieurs les joeurs, vois àªtes frits.

A Angers, vous avez intéràªt à prendre conscience de la situation. Les supporters sont d’une impatience inouà¯e…’

L.T.

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