OM : grenade, couvent, agression… Les trois anecdotes qui prouvent que Bielsa est vraiment fou !
Marcelo Bielsa n’est vraiment pas un technicien comme les autres.
Après avoir effectué un audit poussé de l’Olympique de Marseille et avoir posé un nombre considérable de questions à Vincent Labrune sur le club, « el Loco » (le fou) passe un temps considérable à gérer les termes de son contrat et à régler la question de ses nombreux adjoints. Un dossier qui traine de plus en plus en longueur et suscite un nombre important de fantasmes. Dans son édition de mardi, France Football a pris le temps de dresser le portrait de Bielsa au travers de nombreuses anecdotes savoureuses. Au moins trois d’entre elles font s’interroger sur la santé mentale du futur coach de l’OM.
1. Quand il menaçait les supporters à la grenade
Au Newell’s Old Boy, son premier club en tant qu’entraîneur, Marcelo Bielsa est un demi-dieu. Pourtant, l’homme a eu une attitude complètement folle un soir de février 1992 après une humiliation subie en Copa Libertadores face à San Lorenzo (0-6). Après la rencontre, des milliers de supporters de Newell’s sont venus à son domicile pour lui demander des comptes. La réaction de Bielsa ? S’afficher sur le pas de la porte, une grenade à la main et menacer les supporters de les faire exploser s’ils ne dégagent pas de son jardin.
2. Quand il se réfugiait au couvent
Autre réaction surprenante de l’hurluberlu Bielsa : se réfugier dans un couvent. Dans une confession qu’il aurait fait au tennisman Gaston Gaudio, « el Loco » aurait reconnu avoir passé plusieurs mois enfermé dans un couvent sans téléphone ni télévision mais simplement avec des livres après sa démission du poste de sélectionneur de l’équipe d’Argentine en 2004. «Je suis resté là-bas trois mois, mais j'ai fini par rentrer car je commençais à me parler tout seul. Je devenais réellement fou », aurait-il confié à Gaudio sur le sujet.
3. Quand il étranglait le chef de chantier de Bilbao
La marque Marcelo Bielsa, ce sont aussi de gros coups de colère. Des joueurs comme Taffarel ou Chilavert les ont subi mais pas seulement. France Football rapporte une autre histoire héritée de son passage à l’Athlétic Bilbao où il est passé proche d’étrangler un chef de chantier en apprenant, à son retour de vacances, que les travaux du centre d’entraînement du club n’étaient pas finis dans les temps. Bielsa aurait saisi à la gorge l’un des responsables de la rénovation des installations du club basque. Le lendemain, il est allé se dénoncer à la police…
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