OM : le terrible secret de José Anigo
Dans le long entretien qu’il a accordé à So Foot ce mois-ci, José Anigo est revenu sur ses relations tumultueuses avec certains supporters et avec la justice.
Dans le long entretien qu’il a accordé à So Foot ce mois-ci, José Anigo est revenu sur ses relations tumultueuses avec certains supporters et avec la justice.
Dans le long entretien qu’il a accordé à So Foot ce mois-ci, José Anigo est revenu sur ses relations tumultueuses avec certains supporters et avec la justice. Il a également livré les raisons qui font qu’il n’aurait jamais pu devenir un « voyou » :
« Ce n’est pas dans mes gènes. Et pour moi, c’était plus facile : à 15 ans, je suis sorti de la cité pour aller au centre de formation et, jusque-là, je n’avais fait que du foot et l’école. Il faut dire aussi qu’entre-temps, j’avais perdu un frère. J’avais 12 ans quand il a eu un accident de moto. Il avait 19 ans, il est mort. Ça nous a rapprochés encore plus, la famille. Mes parents ont resserré les liens auprès de leurs enfants. Ça m’a permis de comprendre qu’on n’était pas grand-chose et qu’on pouvait partir manger une glace à 20 heures et ne jamais en revenir. »
Dans cette interview confession très intimiste, Anigo a aussi fait savoir que son meilleur ami était … Policier. « Il travaille à la brigade des mœurs. C’est vraiment comme un frère. Comme quoi … » Un drôle de pied de nez à l’affaire des écoutes de l’OM. Un tissu de « conneries » selon le directeur sportif phocéen, qui s’est justifié sur tous les morceaux sortis ici ou là.
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Dans le long entretien qu’il a accordé à So Foot ce mois-ci, José Anigo a livré les raisons qui font qu’il n’aurait jamais pu devenir un « voyou ».
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