OM : les 4 déclics provoqués par Ocampos

.. avant de sortir en fin de match.

Ocampos a remis ses partenaires vers l’avant

Entré en jeu dès la pause, Ocampos a tout de suite voulu insuffler de l’envie à son équipe et ses partenaires ont suivi. Est-ce l’entrée d’Ocampos ou le coup de gueule probable de Marcelo Bielsa dans les vestiaires ? En tout cas, dans la lignée d’un Ocampos volontaire les Marseillais ont retrouvé l’envie de voir de l’avant. Ce qui a rapidement payé.

Ocampos a montré le chemin des filets

Alors que les Marseillais semblaient bien mal en point, menés par un Stade Rennais qui a réalisé une première période remarquable, Lucas Ocampos a été celui qui a remis les siens à hauteur au tableau d’affichage. Marquer au bout d’un quart d’heure sous ses nouvelles couleurs, voilà un exploit qui n’est pas commun. Sa frappe de l’intérieur du pied droit était parfaite de précision.

Ocampos a chassé le fantôme Alessandrini

Romain Alessandrini, l’ailier marseillais, est loin, mais alors très loin de son niveau rennais qui l’a màªme vu goûter à l’Equipe de France… Traversant la première période comme un véritable fantôme, Alessandrini a vu Lucas Ocampos lui prendre sa place dès la pause. Nul doute qu’avec l’entrée de l’Argentin et le retour d’André Ayew de la CAN, Alessandrini vient de rescendre très bas dans la hiérarchie.

Ocampos a relevé certains joueurs

L’Olympique de Marseille a souffert d’une faillite collective qui s’expliquait également par des faillites individuelles. Lucas Ocampos, par son entrée décisive, a visiblement redonné confiance à quelques partenaires. Jérémy Morel, déjà le moins mauvais des Marseillais avant la pause, a réalisé une grande deuxième période. Et màªme Florian Thauvin, totalement à la rue en première période, a montré quelques qualités après la pause.