Les réactions des dirigeants de l’OM, après la défaite de leur équipe à Rennes (2-2, 4 tab 3) en huitièmes de finale de la Coupe de la Ligue, ne tournaient qu’autour de l’arbitrage. Il faut dire que M. Hamel et ses assistants ont fait très fort en accordant, l’espace de quelques instants, un but à Benjamin André alors que la frappe du milieu breton, repoussée par la barre, avait rebondi devant les cages.
L’OM victime de deux ‘fantaisies arbitrales‘ Pierre Ménès
Autre litige, celui qui a entouré le but refusé à Kostas Mitroglou à la 76e minute, alors que l’attaquant phocéen ne semblait pas hors-jeu. Sur son blog, le consultant Pierre Ménès a donné raison aux griefs de l’OM concernant ces deux actions.
‘Ce match a également été marqué par deux fantaisies arbitrales. La première sur une frappe d'André qui heurte la barre et retombe 50 centimètres devant la ligne de but mais que monsieur Hamel va accorder dans un premier temps avant de se rétracter sur les conseils de ses assistants (qu'on se rassure, la Goal line technology sera en service à partir des quarts de finale). La seconde sur un but injustement refusé à Mitroglou pour un hors-jeu inexistant, l'attaquant grec étant largement couvert par Traoré loin de l'action. Les Marseillais, qui avaient toutes les raisons d'àªtre plutôt contents de l'arbitrage à Montpellier, avaient hier soir toutes les raisons de ne pas l'àªtre.’
Une faà§on de dire que les erreurs s’équilibrent en fin de saison, màªme si à§a ne consolera pas l’OM…
Sylvain Opair