Nous suivre
Image par défaut

Ligue 1

OM : un investisseur étranger aurait été recalé !

Alors que l’Olympique de Marseille recherche activement un nouvel actionnaire, un avocat révèle que l’entourage Margarita Louis-Dreyfus en a envoyé promener il y a quelques mois !
Voilà une nouvelle qui ne va pas ravir les supporters marseillais, excédés par la gestion de leur club depuis plusieurs années.

Alors que l’Olympique de Marseille recherche activement un nouvel actionnaire, un avocat révèle que l’entourage Margarita Louis-Dreyfus en a envoyé promener il y a quelques mois !

Voilà une nouvelle qui ne va pas ravir les supporters marseillais, excédés par la gestion de leur club depuis plusieurs années. Et, pour une fois, Vincent Labrune n’y est pour rien ! L’anecdote, révélée par l’avocat Thierry Granturco au site footballclubdemarseille.fr, est édifiante et montre à quel point l’OM est dirigé n’importe comment. Il est question d’un investisseur nord-américain désireux de s’engager dans un club européen.

‘Ils nous ont mis dans une position inconfortable

La suite, c’est Granturco qui l’a raconte : ‘Au départ, il n'était pas enclin à travailler sur la Ligue 1. Il nous avait donné un cahier des charges, et on lui avait dit que l'OM pouvait malgré tout correspondre à celui-ci. On l'a donc amené à s'intéresser à l'OM, mais vu le traitement qui nous a été réservé, il n'y est pas revenu deux fois. La manière dont Igor Levin a fait face à nos demandes est limite acceptable. A partir de ce moment-là , nous nous sommes dirigés vers des clubs de Premier League. Lorsque nous avons appris deux mois plus tard que l'OM était officiellement à vendre, nous n'y sommes pas retournés car la manière dont cela s'était passée n'était pas convenable. Notre client avait déjà bien avancé sur son investissement à Swansea. Mais màªme si cela n'avait pas fonctionné avec Swansea, il n'y serait pas retourné car les interlocuteurs que nous avons eus à Marseille n'étaient pas des personnes avec lesquelles on pouvait vraiment discuter. Dans un premier temps, nous n'avons pas eu de réponse. Puis ils ont démenti avoir reà§us des demandes d'informations. Or lorsqu'on passe par un cabinet d'avocats, toutes les demandes sont adressées par écrit et laissent donc des traces”¦ Nous avons fait plusieurs demandes qui ont été ignorées, ce qui ne se fait pas d'un point de vue de notre code déontologique entre avocats. Ils nous ont mis dans une position inconfortable par rapport à notre propre client, qui est en phase de formalisation de l'acquisition à Swansea. Le deal est fait, mais il ne sera officialisé qu'après la clôture de l'exercice comptable 2015/2016’.

R.N.

Fil infos

Plus d'informations Plus d'articles