Face aux médias à l’issue de la victoire face à Montpellier (4-1), Josuha Guilavogui est revenu sur ce fol élan de solidarité qui a fait que tout le monde – employés de la ville comme joueur de l’équipe de l’ASSE – a mis la main à la pâte pour permettre à la rencontre de se terminer malgré la neige.
« Le règlement ne jouait pas en notre faveur et il fallait aller vite pour ne pas reprendre la partie à 0-0. On ne voulait pas que la donne soit faussée. Alors qu’on était tous au vestiaire, on a entendu que même les jeunes du centre de formation étaient venus déneiger. A partir du moment où on voyait que le match allait reprendre, tout le monde y a mis du sien » , commente l’international Espoirs tout sourire : « C’est grâce à des matchs comme ça, comme Paris ou comme celui de Lille, qu’on va faire une grande saison. »
S’il semblait plutôt à l’aise avec une pelle, Guilavogui a reconnu que moins il déneigeait, mieux il se portait : « Ce n’est pas facile à déneiger une pelouse ! On est plus à l’aise avec nos pieds et là, il fallait s’aider des mains. Ce n’est pas notre fort ! Personnellement, je préfère être footballeur » , rigole l’intéressé qui comprend la déception de ses adversaires du soir : « Honnêtement, je comprends pourquoi Montpellier a râlé et je pense que j’en aurais fait de même si j’étais dans leur situation. »
A.C, à Geoffroy-Guichard.
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A l’issue de la victoire face à Montpellier (4-1), Josuha Guilavogui est revenu sur ce fol élan de solidarité qui a permis au match d'aller à son terme.
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