Les propos tenus samedi par le président nantais Waldemar Kita, qui avait rebondi sur ceux de son attaquant Filip Djordjevic pour justifier, visiblement, sa volonté de faire le ménage parmi les employés du club, n'ont pas été du goût de tout le monde.
Les propos tenus samedi par le président nantais Waldemar Kita, qui avait rebondi sur ceux de son attaquant Filip Djordjevic pour justifier, visiblement, sa volonté de faire le ménage parmi les employés du club, n'ont pas été du goût de tout le monde. Le dirigeant n'en démord pas ce dimanche dans L'Équipe : le club a besoin d'un coup de balai.
"Quand je suis arrivé, j’ai voulu faire une analyse, mais je me suis fait insulter. Ce n’était pas une question de mettre des gens au chômage. Je voulais simplement réorganiser le club. Aujourd’hui, nous avons un staff administratif et financier très important avec des postes doublés. Si ce que j’ai dit il y a cinq ans ressort aujourd’hui, c’est que j’avais raison. Il va falloir se pencher sur le problème."
"Je le dis avec beaucoup d’élégance, mais ça leur apporte quoi ? C’est une vengeance ? Je trouve ça stupide parce que ça leur fera zéro point."
Certes, mais si les deux équipes se retrouvent à la lutte pour le maintien, les 3 points perdus par le FCN pourraient rendre un fier service au club corse...
Les propos tenus samedi par le président nantais Waldemar Kita, qui avait rebondi sur ceux de son attaquant Filip Djordjevic pour justifier, visiblement, sa volonté de faire le ménage parmi les employés du club, n'ont pas été du goût de tout le monde.
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