FC Nantes : le bon, la brute et le truand de la première partie de saison
A l’heure des bilans à mi-exercice, quoi de mieux que de mettre en avant trois des acteurs-clés de ce début de saison sous un air de Sergio Leone ?
Le bon : Moses Simon
Quand on a vu débarquer le lutin nigérian en prêt en provenance de Levante en début de saison, on a tous cru à une nouvelle banane signée Mogy Bayat pour le FC Nantes.
A l’heure des bilans à mi-exercice, quoi de mieux que de mettre en avant trois des acteurs-clés de ce début de saison sous un air de Sergio Leone ?
Le bon : Moses Simon
Quand on a vu débarquer le lutin nigérian en pràªt en provenance de Levante en début de saison, on a tous cru à une nouvelle banane signée Mogy Bayat pour le FC Nantes. Finalement, Moses Simon s’est avéré àªtre la bonne affaire des Canaris, faisant oublier la non-reconduction du pràªt de Majeed Waris (FC Porto). S’il ne s’agit pas d’un buteur à proprement parler, l’ancien joueur de la Gantoise se défend dans les statistiques (19 apparitions, 5 buts, 5 passes) et sort un peu la tàªte au sein d’un FCN dont la force est surtout le collectif mis en place par Christian Gourcuff.
La brute : Andrei Girotto
On a un peu hésité pour attribuer le rôle de brute dans l’effectif du FC Nantes. Pour son énorme première moitié de saison et sa faculté à balancer punchline sur punchline aux attaquants adverses, Nicolas Pallois l’aurait mérité tout autant… Mais on a choisi de mettre en lumière son binôme Andrei Girotto, ex-cisaille du milieu de terrain qui s’est transformé en un défenseur central classieux à la relance intéressante. Un joueur digne de la « Seleà§ao » selon son entraà®neur Christian Gourcuff. Un motif d’espoir pour tous les bouchers-charcutiers de l’entrejeu.
? Christian Gourcuff : ‘ Je pense que Andrei Girotto risque de finir avec la Seleà§à£o si il continue à performer comme cela ! ?’https://t.co/CKErUtSbn1
En froid depuis de longs mois avec ses dirigeants, « coach Vahid » a joué un poker menteur avec Waldemar Kita au dépend de son club de cÅ“ur. Durant tout le mois de juillet, le Bosnien a fait semblant, effectuant la préparation, accueillant froidement les recrues des Canaris… Avant de claquer la porte sournoisement à une semaine du début du championnat à Lille. Avec une précision aussi chirurgicale que celle qui a fait l’attaquant qu’il était, Halilhodzic a bien attendu de ficeler son plan B avec le Maroc avant de poser sa démission, lui qui n’est pas parvenu à gratter l’indemnité de licenciement qu’il aurait souhaité de ses patrons.