De cette génération prometteuse, seuls Chaker Alhadur et Erwin Zelazny sont encore là et avec des réussites plus que mitigés. Les autres (Négo, Carole, Sasso”¦) se sont un peu perdus après avoir quitté leur club formateur. Alors qu'une nouvelle génération prometteuse, née entre 1993 et 1995, pointe le bout de son nez (Dupé, Veretout, Rongier, N'Koudou), Samuel Fenillat (directeur du centre de formation des Canaris) est revenu sur la principale différence entre les deux crus : la patience.
« Le contexte du club est différent par rapport à la génération « 1990 » (ndlr : né en 1990). Peut-àªtre que ces màªmes joueurs auraient leur place aujourd'hui. Aujourd'hui, ils ne sont plus là et d'autres arrivent. Espérons qu'ils parviennent à rester un peu plus longtemps au club et à s'y inscrire (”¦) Aujourd'hui, on parle de plus en plus du départ de Jordan Veretout, qui a 21 ans et qui est encore jeune. Pour pas le conserver encore un peu ? Maintenant il y a le volet financier et le président ne sera peut-àªtre pas d'accord avec moi ”¦ En tout cas, pour revenir à la principale différence entre la génération 1990 et celle qu'on a aujourd'hui, je dirais que les « 1994 » sont plus épurés, plus sains”¦ Sur les 90, on avait déjà un environnement et un entourage qui voulaient les faire partir », commente l'éducateur sur France Bleu Loire Océan.
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