Le président du FC Nantes Waldemar Kita a récemment assuré qu'il ne voyait aucun problème à continuer à travailler avec Mogi Bayat malgré ses démàªlés avec la justice belge. Il l'a prouvé…
« On a de bonnes relations avec Mogi Bayat. Ce qui se passe dans ses affaires personnelles, à§a ne me regarde pas. Mais aujourd'hui, il n'y a qu'une seule chose que l'on sait, c'est qu'il est sorti de prison et qu'il n'y a aucune action contre lui. Retravailler avec lui ? Mais bien sûr. Moi, je ne lui reproche rien. J'ai beaucoup d'estime par rapport au travail qu'il fait. »
En début de semaine, Waldemar Kita n'a pas caché dans les colonnes de L'à‰quipe sa vision de l'affaire Limbombe, dans laquelle Mogi Bayat serait impliqué selon la justice belge. Le président du FC Nantes ne croyait pas si bien dire en évoquant son intermédiaire de choix pour les transferts. Selon La Capitale, c'est en effet grâce à ce màªme Bayat que le FC Nantes a pu renvoyer Kara Mbodji aussi rapidement à Anderlecht après sa prise de bec avec Vahid Halilhodzic.
« Une semaine après avoir déclaré qu'Anderlecht éviterait toute collaboration avec des agents visés par le Footbelgate durant ce mercato hivernal, le RSCA a déjà dû faire marche arrière. En cause ? Le retour de Kara, pour lequel Mogi Bayat, imposé par la direction nantaise, a été très impliqué. Sans lui, le rapatriement du Sénégalais au Sporting était impossible. Nantes l'a imposé à Anderlecht », peut-on ainsi lire dans le média belge.
JP