Dont il garde un grand souvenir avant de l’affronter samedi.
Son retour au Parc des Princes
“ Le Parc des Princes est un stade magnifique. Comme joueur, comme entraà®neur, il faut àªtre costaud là -bas. Il y a une pression dans ce stade qui est pesante. Il faut àªtre costaud pour assumer cette pression. Il y a plein de stades qui ont du charme mais le Parc des Princes est vraiment un stade mythique.”
Sur les chances du FC Nantes à Paris
“Tout est possible à partir du moment où on le veut. Mais encore faut-il faire les choses pour. Quand Neymar ou Mbappé prennent le ballon, on a l’impression qu’ils jouent avec des gamins en face. Ce sera difficile pour nous mais je n’ai jamais préparé un match pour le perdre. Il faut àªtre dans la réalité. Ne surtout pas avoir peur, ne pas paniquer, tenter des choses. Sur dix matches, on aura peut àªtre une fois l’opportunité.”
Sur le contexte parisien en tant qu’entraà®neur principal
“Le contexte parisien est assez particulier. Vous àªtes dans la plus belle ville du monde. Il y a plein de personnalités du show-biz qui aiment le football et veulent graviter autour de vous. Quand j’étais coach du PSG, je me souviens que Jean-Paul Belmondo m’avait invité à manger. A Paris, il y a plein de personnalités qui aiment le football comme Patrick Bruel ou encore Julien Clerc. Le problème, c’est que vous àªtes invité partout, au théâtre, aux défilés de mode, etc. Pour le travail, ce n’est pas toujours facile.”
“Il faut savoir dire stop. Je l’ai fait. A partir de là , on a inventé beaucoup de choses : que je n’étais pas accessible, que c’était impossible de me toucher… Ce n’est pas vrai. Je m’étais juste mis dans le travail de reconstruire un club en difficulté. Pour s’en sortir à Paris, il faut avoir une bonne communication vers l’extérieur. C’est de l’image. Il faut àªtre « guignol ».”
R.N.