S'il a réagi sèchement aux récentes rumeurs le concernant via un communiqué diffusé par le FC Nantes, Waldemar Kita a tout de màªme vacillé sur le trône des Canaris.
Waldemar Kita n'avait pas encore réagi à l'annonce, fin février, de la décision de la maire de Nantes et présidente de Nantes Métropole Johanna Rolland de stopper la vente de terrain pour son nouveau stade.
Par le biais d'un communiqué diffusé par le FC Nantes, hier en milieu de matinée, le président du FC Nantes a fait part de son incompréhension. Le 25 février, la maire de Nantes avait considéré qu'au-delà « des tensions, des oppositions ou des interrogations que ce projet suscite, l'annonce d'une enquàªte préliminaire du Parquet national financier (PNF) visant la situation fiscale de M. Kita rendait impossible la cession d'un terrain public à son profit ».
L'enquàªte sur la situation fiscale personnelle de Kita, dans la semaine du 18 février, a déclenché la remise en cause d'un projet travaillé depuis des mois, ce qui a eu le don de faire sortir le président du FC Nantes de sa réserve. « Aucun mauvais prétexte ne saurait venir compromettre les années d'études préalables, les 10 millions d'investissements déjà engagés, les résolutions votées, les engagements forts pris en faveur d'un projet à destination des générations futures », estime-t-il.
Si cette posture peut donner l'impression d'àªtre forte depuis le début, L'à‰quipe glisse dans son édition du jour que ce màªme Kita a ces derniers jours « accusé le coup » devant ces annonces successives. De là à renoncer à la présidence du FC Nantes ? Assurément pas : « Je le redis : le FC Nantes n'est pas à vendre ! »
Rejoignez notre chaà®ne But! Football Club pour encore plus de contenus sur le monde du ballon rond.
JP