A Bordeaux (2-3) déjà , Frédéric Paquet était monté au créneau pour pousser un coup de gueule contre l'arbitrage de M. Turpin et du VAR. Le directeur général stéphanois a récidivé dimanche à Nice (1-1), estimant que l'ASSE avait encore été lésée. « On commence à àªtre passablement excédés parce que à§a commence à se répéter, a-t-il noté, en zone mixte. On a vécu une injustice contre Bordeaux où très clairement il n'y avait pas penalty et là on est aussi soumis à un penalty qui n'existe pas. La décision n'est pas juste et en plus elle n'est pas cohérente avec ce qui s'est passé lors du match Strasbourg-Caen. Sur la màªme situation, la VAR avait déjugé la décision de l'arbitre pour annuler le penalty. Et nous, sur la màªme situation, l'arbitre fait appel à la VAR et elle confirme le penalty. »
Interrogé à son tout sur la décision de donner un penalty aux Aiglons, Patrick Vieira n'a pas tenté de polémiquer. Il a juste été droit dans ses bottes, lui qui aurait pourtant pu àªtre excédé d'avoir été expulsé pendant la rencontre par ce màªme corps arbitral.
« S’il l’a donné avec la VAR, c’est qu’il y a penalty, a-t-il sèchement répondu après coup. Mon exclusion ? L’arbitre était un peu trop nerveux (sourires). Non, il y a eu des moments de tension. Je ne me maà®trise pas, il m’expulse. Je trouve cela sévère et puis on reste frustré au vu de la fin du match. »
Patrick Vieira a été expulsé à la 71e minute de jeu pour avoir contesté à de trop nombreuses reprises les décisions de l’arbitre. Le champion du monde 98 n'est visiblement pas trop rancunier.
JP
