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Ligue 1

OL – OM (2-0) : Pierre Ménès désigne les bons et mauvais élèves de l'Olympico

L’OL a remporté un drôle d’Olympico dimanche soir au Groupama Stadium face à l’OM (2-0).

L'OL a remporté un drôle d'Olympico dimanche soir au Groupama Stadium face à l'OM (2-0). Pierre Ménès analyse une rencontre où les Marseillais ont été mal payés.

Steve Mandanda portera longtemps la responsabilité de la défaite de l'OM à Lyon hier soir, tant sa boulette sur l'ouverture du score de Nabil Fekir a fait basculer l'Olympico d'emblée (2-0). Déficients face à des Marseillais bien organisés et dangereux, les Lyonnais ont su faire le dos rond pour mieux les piquer et doubler la mise après le repos. Un réalisme froid qui fait la différence entre les deux équipes et qui a été observé par Pierre Ménès.

« On a peut-àªtre vu les limites de Germain »

« L'énorme faute de main de Mandanda dès la 6e minute sur un coup-franc inoffensif de Fekir a totalement changé la donne. Je pense qu'inconsciemment, cette ouverture du score très précoce a poussé les Lyonnais à reculer et à laisser l'initiative du jeu aux Marseillais, qui se sont procurés de belles occasions, avec notamment cette tàªte de Rami et cette reprise d'Ocampos parfaitement sorties par un Lopes déjà merveilleux, décrypte le consultant de Canal+ sur son blog. L'OL a su rectifier le tir dès la reprise et a marqué à nouveau à la 6e minute de cette seconde mi-temps par Diaz. L'avant-centre lyonnais est toujours aussi ulcérant dans le jeu, mais il plante. Après tout, il est là pour à§a (…) Pour la première fois de la saison, les Phocéens n'ont donc pas marqué. Ils n'ont cependant pas à rougir de leur prestation, qui est màªme porteuse d'espoirs quant à la qualité de jeu. Mais la réalité c'est que c'est l'OL qui a su se montrer réaliste. Et puis dans un match de ce niveau, on a peut-àªtre vu les limites d'un Germain, qui n'a pas existé et a màªme été déficient sur le plan technique. Thauvin a également déà§u, à la différence d'un Gustavo une nouvelle fois impérial au milieu. Côté lyonnais, Lopes a été l'homme du match, Marcelo s'est montré infranchissable et Fekir a pesé sur le jeu. »

JP

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