Ce n'est plus un secret pour personne : comme la presse anglaise l'avait affirmé il y a plusieurs semaines, David Beckham aimerait bien prolonger son séjour au Paris Saint-Germain.
Une idée qui, visiblement, fait son chemin puisque le club parisien pourrait même ouvrir des négociations dans les jours qui viennent. Dans Le Parisien du jour, on apprend néanmoins qu'il reste quelques obstacles majeurs à franchir : ceux relatifs à l’imposition qui sera appliquée aux revenus du joueur. On le sait, pour sa pige de 5 mois à Paris, Beckham n'est pas un résident fiscal français, son salaire étant versé à des associations caritatives dont on ne connaît toujours pas les noms. Mais si nouveau contrat il devait y avoir, Beckham devrait être soumis aux lois fiscales de notre pays.
Un tel risque ?
Plus étonnant, mais alors beaucoup plus étonnant, on apprend, toujours dans le Parisien, que le Paris Saint-Germain aurait déjà entamé des discussions avec l'administration fiscale française pour que le club, le joueur et le fisc y trouvent leurs intérêts. Alors que vient d'éclater en France l'affaire Cahuzac, et que ministres et hommes politiques divulguent les uns après les autres leurs patrimoines, on a du mal à croire que le PSG et l'administration fiscale prennent un tel risque. Beckham fait certes vendre des maillots, doit bel et bien attirer des touristes, mais on doute fortement que l'Etat français, surtout en ce moment, offre à un footballeur certains passe-droits. Ou alors nous n'avons pas encore mesuré l'effet Beckham...
Ce n'est plus un secret pour personne : comme la presse anglaise l'avait affirmé il y a plusieurs semaines, David Beckham aimerait bien prolonger son séjour au Paris Saint-Germain.
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