par La rédaction

PSG : Cinq choses à savoir sur … Menez

Durant toute la fin d’année 2012, « But ! Paris » passait au crible les joueurs du Paris Saint-Germain.

Cette semaine, « But ! Football Club » a ressorti des cartons les petits secrets de Jérémy Ménez (But ! Paris n°9).

1.       Pourquoi son chiffre, c’est le 7

Le 7 est son chiffre fétiche. Voilà pourquoi en arrivant au Paris Saint-Germain, Jérémy Ménez a demandé à ce qu’on lui réserve le numéro 7. Ça vient probablement de sa date de naissance : le 7 mai 1987. Ou de son poids, qui est de 77 kilos si on se réfère à sa fiche sur le site officiel du PSG. Mais ce n’est pas tout. En cherchant dans les archives de la Ligue 1, on apprend que Jérémy Ménez est entré dans l’histoire du football français en inscrivant un triplé en 7 minutes ! C’était le 22 janvier 2005. Le chiffre 7 lui colle à la peau.

2.       Pourquoi il a failli jouer à Manchester

Alors qu’il n’a que 15 ans et qu’il vient de passer trois ans au centre de formation de Sochaux, Jérémy Ménez rencontre Sir Alex Fergusson à Manchester. “C’était un vrai plaisir. Manchester, je les voyais à la télé. C’est un grand entraîneur, des grands joueurs, et j’étais flatté que ce club s’intéresse à moi. Dans le bureau de M. Ferguson, avec mon frère, on a beaucoup parlé, il m’a expliqué ce qu’il voulait faire avec moi, mais c’était trop tôt pour s’expatrier. Bon, j’ai quand même hésité, c’est vrai. Tu te dis que c’est peut-être aujourd’hui ou jamais. Mais dans ces moments-là, il faut rester calme. MU nous avait acheté trois billets d’avion, pour mon frère (ndlr : Kevin), mon agent et moi, de Sochaux à Manchester, via Paris. Arrivés à l’aéroport, une voiture nous attendait et nous a emmenés au centre d’entraînement, qu’on a visité.” Jérémy Ménez avait finalement signé son premier contrat pro à Sochaux.

3.       Pourquoi il prend des cartons

“Parce que je n’aime pas l’injustice !”Du coup, quand un arbitre siffle et qu’il n’est pas d’accord, Jérémy Ménez s’énerve et s’emporte. Il en a récolté 16 la saison passée dont le plus médiatique, celui du quart de finale de l’Euro 2012 face à l’Espagne. “Ce n’était pas joli à voir, reconnaît Ménez. L’arbitre peut se tromper. Il faut que j’apprenne à faire abstraction.” Un comportement qui lui a peut-être coûté un statut de capitaine au PSG. Carlo Ancelotti a confié le brassard à Christophe Jallet. Et alors qu’il devait être vice-capitaine, c’est finalement Mamadou Sakho qui occupe ce rôle.

4.       Pourquoi il a signé à Paris

“Je suis venu au PSG car le club voulait construire quelque chose de grand. Il y avait des ambitions élevées.” Jérémy Ménez n’a sûrement pas été déçu malgré l’échec de la conquête du titre l’an dernier. Si l’attaquant a choisi le PSG, c’est également parce qu’il est supporter du club depuis qu’il joue au football. “On jouait sur un parking qu’on avait transformé en terrain de foot.” Il avait cinq ans et habitait la cité du Moulin Vert à Vitry-sur-Seine.

5.       Pourquoi il est hermétique aux critiques

Quand on voit Jérémy Ménez, soit on l’aime, soit on le déteste. On l’aime car comme le dit justement Guy Lacombe, qui l’a lancé en Ligue 1 à Sochaux : “Jérémy est capable de tout !”. Mais on le déteste car l’attaquant la joue parfois trop facile. Jérémy Ménez s’en fout ! “Les critiques, je les mets de côté. Depuis que j’ai débuté, on m’a collé une image de sale gosse. Et les gens sont restés bloqués sur mon image quand j’avais 17 ou 18 ans. Mais j’ai évolué. J’ai pris du recul. Je suis quelqu’un d’autre.” Et ceux qui le connaissent personnellement décrivent un autre garçon : “C’est un gars bien, lance le chanteur Mokobé, son ami. A Vitry, chaque année, on fait le Noël des enfants et il est très généreux.” Jérémy Ménez va également financer la création d’un terrain de foot sur le parking où il jouait au foot quand il était gamin dans la cité du Moulin Vert à Vitry-sur-seine.

Julien DELORS

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Pour résumer

Durant toute la fin d’année 2012, « But ! Paris » passait au crible les joueurs du Paris Saint-Germain.

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