Au cours d’un entretien accordé à So Foot, le ‘chat’ Bernard Lama donne quelques coups de griffes à certains de ses anciens partenaires.
Discret dans les médias, Bernard Lama parle rarement pour ne rien dire. Interrogé par le magazine So Foot, l’ancien gardien du PSG et de l’équipe de France se livre màªme à un véritable règlement de compte dont certains de ses prestigieux coéquipiers font les frais. Morceaux choisis.
Fabien Barthez
‘C’est un bon soldat (…), blanc, pas très intelligent… (…) Il ne fait pas trop d’histoires, il a été le chouchou à une époque mais aujourd’hui, on ne l’appelle pas pour parler de football. Avec Fabien, on s’entendait bien sans àªtre pote. Les gens ont monté notre rivalité. Barthez a été un symbole de la lutte anti-Lama : des joueurs voulaient me sortir et des médias ont joué le jeu de Barthez.’
Luis Fernandez
‘C’était le folklore. Fernandez, c’est un entraà®neur de coupes, pas un entraà®neur de stabilité. Toutes les semaines, fallait qu’il change l’équipe. C’est quelqu’un qui n’a pas compris où il était. C’était trop haut pour lui. Intellectuellement, il y avait un décalage. (…) Dans la gestion humaine, il était à côté de la plaque. Maintenant, il n’y a plus de soucis, il m’appelle, je réponds à ses sollicitations.’
Marco Simone
‘Simone, c’est un gros con qui se la racontait.’
Christian Wà¶rns
‘Wà¶rns touchait un gros salaire mais c’était un lâche. Il était limité et ne savait faire que le marquage individuel.’
Sylvain Opair