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Ligue 1

PSG : les 3 flops de la première partie de saison

Difficile de trouver le moindre défaut au PSG actuel, auteur d’une première moitié de saison quasiment parfaite.

Quelques failles entrevues ici ou là devront toutefois àªtre comblées en 2016 pour espérer aller loin en Ligue des champions.

Trapp, l’ombre d’un doute

L’arrivée de Kevin Trapp au PSG l’été dernier avait surpris. Pour la première fois, le club de la capitale, habitué à recruter des stars, prenait le risque de confier une place de titulaire à un joueur méconnu. La curiosité des débuts, longtemps insatisfaite (Trapp n’a quasiment pas eu un arràªt à effectuer lors de ses cinq premières apparitions), a laissé place à une certaine inquiétude à mesure que le joueur de 25 ans enchaà®nait les erreurs. Trois buts peuvent lui àªtre imputés. Sur une demi-saison, et sachant que son équipe n’en a encaissé que dix en tout, cela fait tout de màªme beaucoup. Màªme si le dernier rempart parisien a également arràªté deux penalties contre l’OM et Caen.

Un manque d’efficacité lors des grands matches

Comme toujours, les statistiques d’Edinson Cavani demeurent très correctes (13 buts en 24 apparitions). Mais comme toujours, un petit goût d’inachevé persiste, l’international uruguayen pouvant rater des buts tout faits, comme face au Real Madrid. À sa décharge, l’international uruguayen ne fut pas le seul, sur la pelouse de Bernabeu, à manquer de réalisme. Toute son équipe s’y est mise pour offrir aux hommes de Rafael Benitez un succès inespéré. Problème, ce n’est pas la première fois que le PSG affiche cette incapacité à tuer un match lorsqu’il en a l’occasion, notamment lors des grandes affiches. Celles, justement, où le vainqueur est celui qui fait la différence au bon moment.

Des remplaà§ants un ton en-dessous

Avec l’effectif dont il dispose, Laurent Blanc devrait pouvoir aligner deux équipes de màªme valeur. Mais dans les faits, un écart certain sépare le onze-type de celui des ‘coiffeurs’. Grégory Van der Wiel n’est pas Serge Aurier, pas plus que Benjamin Stambouli ne peut rivaliser avec Thiago Motta. De màªme, Lucas se montre décisif presque chaque fois qu’il entre en jeu mais passe régulièrement au travers lorsque son entraà®neur l’aligne dès le coup d’envoi. En attaque, la moindre absence de Zlatan se fait aussitôt ressentir. Cela ne porte pas à conséquences en Ligue 1 mais Blanc doit croiser les doigts pour ne pas subir de blessure majeure avant les chocs de Ligue des champions.

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