Valenciennes FC

PSG : les 3 raisons pour lesquelles Paris peut perdre à Valenciennes

On n’a pas regardé les cotes mais la victoire de Valenciennes face au PSG ce mercredi doit être à 1258 contre 1, quelque chose comme ça.

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But ! Football Club
24 septembre 2013 22h40

Difficile de trouver plus déséquilibré comme affiche, entre un PSG invaincu depuis le début de la saison et Valenciennes, qui reste sur cinq revers d’affilée dont un très lourd à Nice (4-0) dimanche. Voilà pourquoi les hommes de Laurent Blanc devront pourtant se montrer vigilant.

Une évidente décompression

Paris vient de vivre sa semaine la plus tendue depuis le début de la saison : entrée en lice en Ligue des Champions sur le terrain de l’Olympiakos (victoire 4-1), puis réception de l’autre favori du championnat, Monaco (1-1) pour le choc de la 6e journée de Ligue 1. Alors forcément, enchaà®ner avec un déplacement sur la pelouse d’un relégable, cela n’a pas la màªme saveur. Et quand on sait que Zlatan Ibrahimovic et sa bande avaient du mal, la saison passée, à se motiver face aux petits, il y aura forcément un peu de laisser-aller…

Valenciennes n’a plus le choix

On ne voudrait pas inquiéter Daniel Sanchez et sa bande mais concrètement, s’ils perdent demain, on parlera déjà de Ligue 2 à leur sujet. Le VAFC joue déjà sa survie. Mais finalement, n’est-ce pas mieux d’affronter un adversaire contre lequel tout le monde les donne perdants ? Qui sait, l’énergie du désespoir et le fait de n’avoir rien à perdre vont peut-àªtre leur donner des ailes…

Laurent Blanc va faire tourner

Engagés dans une série de sept matches en trois semaines, les joueurs Bleu et Rouge ont besoin de repos, ce qui va contraindre Laurent Blanc à faire tourner son effectif. Une rotation à double-tranchant : l’équipe sera peut-àªtre moins fatiguée mais manquera d’automatismes, d’autant que le ‘président’ semblait avoir trouvé son équipe-type. Le technicien pourrait également repasser en 4-4-2, alors qu’il vient de trouver avec le 4-3-3 un système qui fonctionne. En outre, des joueurs comme Jérémy Ménez ou Javier Pastore pourraient àªtre amenés à démarrer la rencontre alors qu’il n’ont pas encore joué cette saison ou reviennent de blessure.

Méfiance donc pour le PSG, pour qui une défaite chez une des équipes les plus faibles de ce début d’exercice serait synonyme d’humiliation.