PSG : les + et les – de la qualification face au Stade Brestois (5-2)
Sans trembler, le Paris Saint-Germain a fait respecter la hiérarchie en dominant largement le Stade Brestois (Ligue 2) sur le score de 5-2 en 32e de finale de la Coupe de France.
Sans trembler, le Paris Saint-Germain a fait respecter la hiérarchie en dominant largement le Stade Brestois (Ligue 2) sur le score de 5-2 en 32e de finale de la Coupe de France. Un résultat qui prouve que les hommes de Laurent Blanc sont bel et bien mobilisés sur toutes les compétitions.
Les « plus » :
– Les saisons précédentes, le Paris Saint-Germain en avait bavé face aux équipes hiérarchiquement inférieures. Cette fois-ci, la qualification ne souffre màªme pas de débat.
– Quelle prestation de Zlatan Ibrahimovic ! Auteur de trois réalisations en 42 minutes et passeur décisif pour Lavezzi, le Suédois est sorti sous les applaudissements de Francis-le-Blé. 33 buts en 31 matchs toutes compétitions confondues en 2013-14. Un « Monstre ».
– Troisième but de la saison pour Lavezzi qui a pu profiter de ce petit match pour se refaire une confiance.
– Quand Thiago Motta est en forme, Paris est imprenable. Et quand il marque et donne des passes décisives alors là , c'est carrément le festival.
– S'il a concédé deux buts, Nicolas Douchez n'a pas démérité et gagné le droit de jouer encore quelques matchs supplémentaires d'ici à la fin de saison.
– Dans la maà®trise collective, l'équipe entraà®née par Laurent Blanc s'est montré très impressionnante, surtout aux vues du terrain et des conditions climatiques (vent, pluie diluvienne). Plus de 70% de possession de balle.
Les « moins » :
– Prendre deux buts face à une équipe de bas de classement de Ligue 2 dénote quand màªme d'un « petit » manque de sérieux défensif. Sur coup de pied arràªté, c'est excusable. Moins sur le but d'Ayité où Alex est quand màªme léger.
– Fin de série pour Edinson Cavani qui a touché du bois et mis fin à une belle série de 12 matchs consécutifs en marquant toujours au moins un but.
Conclusion : Pour son premier match de l'année 2014, le PSG a fait le job qu'on attendait de lui. Une victoire large marquée d'un grand « Z » qui veut dire Zlatan.