PSG : Les Qataris ont trouvé leur meilleur avocat, il est Stéphanois

Et contrairement à Jean-Michel Aulas, le président de l’OL, celui de l’ASSE, Bernard Caà¯azzo, défend avec vigueur la politique du club parisien.

Les prochains mois seront déterminants. Et on espère, déjà , pour le Paris Saint-Germain, que le mercato d’été, qui a notamment permis les venues de Neymar et Mbappé, a été conduit dans les règles de l’art. L’enjeu ? Le respect du fair-play financier si important aux yeux de l’UEFA. En cas de non-respect, le club de la capitale sera sanctionné, ce qui, au fond, n’est pas le problème essentiel soulevé par Bernard Caà¯azzo, co-président des Verts de Saint-Etienne. Sur les ondes de RMC, ce dernier a en effet tenu à défendre la politique des dirigeants qataris. Et stigmatiser l’attitude de quelques clubs jaloux.

‘On sent chez un certain nombre de grands clubs européens que le PSG est devenu la cible. On se sent un petit peu mal à l’aise par rapport à à§a parce qu’on a un sentiment : celui que le PSG tire plutôt notre football vers le haut. On va dire que le PSG dérange, que le PSG est ciblé. J’espère qu’il sera jugé de faà§on très rationnelle et juste. Je ne voudrais pas qu’il y ait des contingences passionnelles qui se mettent au milieu de tout à§a. Il ne faudra pas que ce soit un jugement de faà§ade. L’UEFA répond à l’attente d’un certain nombre de gros clubs. Il y a des influences qui se font. Je pense que le PSG saura parfaitement répondre à tout à§a. J’ai regardé les comptes du PSG, et ils n’auront aucun souci avec le fair-play financier. Il y a beaucoup de gens qui parlent du fair-play financier sans vraiment savoir ce qu’est l’économie du football.’

L.T.