Notamment le dossier Lorenzo Callegari.
On vous en a parlé ce mardi dans la dernière ligne droit du mercato hivernal : un départ de Lorenzo Callegari du PSG a été freiné vers l'Italie (Genoa) au grand dam de son père Joseph, qui n'a pas manqué de faire ressortir sa colère sur la place publique.
Le clan Callegari ne décolère pas
« Paris nous a dit que Lorenzo n'était pas encore pràªt pour l'équipe première. O.K. On n'a pas de problème avec à§a. À partir de là , on a cherché le meilleur moyen pour le faire progresser. Le Genoa était arrivé avec un projet, mais Paris a dit non. On ne comprend pas pourquoi, peste-t-il encore aujourd'hui dans L'à‰quipe. Je suis un peu furieux parce qu'à quelques heures de la fin du mercato, tu ne peux pas juste dire non sans rien proposer. Je ne dis pas que Lorenzo n'est pas bien à Paris, au contraire, il y est très attaché. L'idée, c'était de partir et s'aguerrir pour revenir. Si le PSG ne veut pas, qu'il nous propose un projet. On est un peu inquiets pour la suite. »
Al-Khelaà¯fi ne comprend pas la stratégie
Le quotidien sportif précise que c'est Patrick Kluivert, mais aussi Olivier Létang, qui ont dans un premier temps refusé le départ de Callegari au Genoa cet hiver. Deux formules de pràªt ont alors été proposées au PSG. Un pràªt de 18 mois avec une option d’achat d’environ 3 M€ et un droit prioritaire de rachat pour le club de la capitale fixé à 6 M. La direction sportive a alors discuté de ce projet mais « il semble que ce soit Nasser Al-Khelaà¯fi qui s’y soit opposé, précisent nos confrères. Le président parisien ne trouvait pas logique de devoir payer près de 3 M€ pour récupérer un joueur formé au club. » Le Genoa a enfin proposé un pràªt de màªme durée mais avec une simple option d’achat d’un montant supérieur à 3 M€. Nouveau refus, définitif cette fois, hier. Notre petit doigt nous dit que le dossier Kingsley Coman ne semble pas encore complètement digéré chez le champion de France.
JP