Nous suivre
Image par défaut

Ligue 1

PSG – Mercato : encore trois ans avant de redouter un départ de l’Emir Al-Thani ?

Interrogé par Le Parisien, le directeur de l'Observatoire du Qatar estime que le PSG peut craindre le pire s’il continue à enchaîner les résultats négatifs qui nuiraient à la réputation de l'émir Al Thani, propriétaire du club parisien.

Interrogé par Le Parisien, le directeur de l'Observatoire du Qatar estime que le PSG peut craindre le pire s’il continue à enchaà®ner les résultats négatifs qui nuiraient à la réputation de l'émir Al Thani, propriétaire du club parisien.

Le PSG vit certainement la pire saison depuis le rachat par QSI en 2011. Une fois de plus, le club parisien a été la risée en Europe, après une nouvelle élimination pitoyable face à Manchester United en Ligue des Champions. Mais si les années précédentes, le Paris SG pouvait se consoler avec sa suprématie nationale, ce n’est pas le cas cette saison. Battu en finale de Coupe de France par le Stade Rennais, éliminé en quart de finale de Coupe de la Ligue par Guingamp, le Paris Saint-Germain devra se contenter du championnat.

Des résultats catastrophiques qui commencent à faire grincer des dents le Qatar. Dans Le Parisien, on apprend ce matin que l’Emir Al-Thani, personnellement touché par la situation, songerait à se désengager à moyen terme ! Lassé par les échecs sportifs à répétition, le propriétaire du PSG craint pour son image. A l’occasion d’une interview accordée au quotidien régional, Nabil Ennasri, directeur de l'Observatoire du Qatar, a confirmé l’inquiétude de l’émir. Néanmoins, ce dernier a expliqué qu’un retrait de l’Emir Al-Thani serait difficilement envisageable, à l’approche de la Coupe du Monde au Qatar en 2022.

«Un désengagement avant 2022 est quasi impossible. Màªme en cas de scénario encore plus noir sur le plan sportif. Ce serait vraiment un aveu d'échec, pire que les résultats piteux du PSG. Le Qatar a besoin du PSG pour se doter d'un crédit footballistique en vue de la Coupe du monde. Malheureusement pour eux, cette année encore, on est passé de désillusions en humiliations. Après 2022, c'est toute la question », a-t-il déclaré.

S.T.

Fil infos

Plus d'informations Plus d'articles