Leonardo, le directeur sportif du PSG, s’est exprimé devant la presse en marge de la victoire sur la pelouse du FC Metz (2-0).
Avec tant de dossiers chauds autour du PSG, Leonardo ne pouvait pas éviter les questions des journalistes ce soir. Il a donc brassé les différents sujets du moment.
Les négociations au point mort pour Neymar
« Notre position a toujours été claire, ils ont toujours su ce que l’on voulait. La première fois qu’on a eu une proposition écrite du Barà§a, c’était le 27 août. On a été ouvert, y compris pour parler d’autres joueurs pour faire l’opération. On n’a jamais eu un accord écrit par rapport à nos conditions. Aujourd’hui, il n’y a pas d’accord. Il y a une deadline naturelle. Il reste trois jours avant la fin du Mercato. On n’a pas prévu de nouvelle date de négociation avec le FC Barcelone ».
Sur la relation avec Neymar
« Sa position a toujours été claire et la nôtre aussi. On a toujours dit depuis le début. Si une proposition qui nous satisfait arrive on l’acceptera. Mais il est sous contrat avec nous. Tous ceux qui sont dans la négociation connaissent nos conditions. (”¦) Neymar est un joueur extraordinaire, je ne le connaissais pas, c’est un bon garà§on. Maintenant, on doit avoir une relation, ce n’est pas la plus tranquille qui existe. On a ouvert la porte à un départ à des conditions qui ne sont pas arrivées. »
Des renforts offensifs uniquement grâce à l’échange pour Neymar ?
« On a eu beaucoup de conversation avec des joueurs. La condition du départ de Neymar, c’est que son remplaà§ant soit dedans, avec en plus des joueurs en complément exigés par nous ».
Pas de discussion concrète avec Dembélé
« Il a su qu’il devait partir le 27 donc c’est compliqué. On n’a pas eu de relation avec Dembélé puisqu’on n’a pas eu d’accord avec le FC Barcelone qui nous permet d’entrer en relation avec le joueur ».
Areola, ce n’est pas encore fait
« La situation n’est pas encore faite. Il y a la possibilité de le faire. Il ne se sentait pas bien pour jouer parce qu’il y a des négociations. On était un peu surpris ».
Maxime Tauzin