Dans son édition du jour, France Football s’est attardé sur la réussite de Julien Stéphan depuis son intronisation sur le banc du Stade Rennais en décembre dernier. L’hebdomadaire révèle notamment que le jeune coach breton a gagné un surnom sympathique, né de l’agent de joueur Laurent Schmidt, proche du club rouge et noir et séduit par la personnalité de ce «fils de » : le « Pochettino breton ».
« Ce n’est pas une histoire d’âge ou de proximité, c’est sa manière d’netrer dans la personnalité des gens. Il sait faire. Il observe, il analyse, il comprend les mecs, il leur donne de l’importance. Il a un management participatif », poursuit l’agent FIFA pour expliquer l’analogie avec le coach de Tottenham.
Certains entraà®neurs de Ligue 1 en seraient jaloux
Màªme s’il ne s’en donne pas l’air, Julien Stéphan peut aussi se montrer sanguin comme l’Argentin. « Ce n’est pas parce qu’il est tout propre, tout gentil, qu’il ne peut pas pousser des coups de gueule », confirme un proche : « Le mec qui lui fait une crasse, il ne lui en fera pas deux. Il n’est pas rancunier mais il n’oublie pas, et il ne faut pas le faire chier, car il saura s’en souvenir. Julien sait où il va, c’est un sniper, il a sa cible et veut viser juste. Il est beaucoup plus dur que son père ».
Preuve que l’image de gendre idéal est biaisée le concernant : Julien Stéphan a déjà eu quelques accrochage avec d’autres entraà®neurs. « Parce qu’il est sûr de lui, il peut passer pour prétentieux. Il y a des entraà®neurs jaloux et son insolente réussite les énerve », affirme-t-on dans son entourage.
Arnaud Carond
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