‘Aujourd'hui, je n'ai pas plus de pression que lorsque j'ai récupéré l'équipe au mois de décembre 2018, 14e à quatre points du barragiste et que j'entendais parler éventuellement d'une potentielle relégation ou de difficultés. Je n'ai pas plus de pression que fin novembre lorsque j'avais trois matches pour sauver mon poste et que je voyais des noms fleurir dans la presse pour me remplacer. Je n'ai pas plus de pression que à§a. Elle fait partie de ce métier-là . Il faut l'accepter et vivre avec.’
Le quart de finale de Coupe de France face à Belfort
‘On a des échéances très importantes qui arrivent avec la Coupe de France, avec le championnat qui s'enchaà®ne. On se doit d'àªtre focalisé sur le terrain et surtout que l'esprit de compétition l'emporte sur tout. Dans une carrière de joueur, jouer un quart de finale de Coupe de France, ce n'est pas neutre, ni anodin.’
La réorganisation interne
‘Je lis des choses, on me rapporte des choses depuis quelques jours, qui sont complètement fausses. À la limite, ce n'est pas très grave, mais je ne voudrais pas que à§a dépasse les bornes. Aujourd'hui, on a un actionnaire puissant au club, qui porte le club depuis vingt ans, qui prend des décisions. Le président est sous la responsabilité de l'actionnaire, l'entraà®neur est sous la responsabilité du président et donc aussi de l'actionnaire et on suit la ligne directrice de l'actionnaire. Encore une fois, je m'occupe de l'équipe et du secteur professionnel. Et c'est déjà bien suffisant comme à§a.’
Propos retranscrits par le site de Ouest-France.