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Ligue 1

ASSE : en pleine crise, les mots forts de William Saliba et Claude Puel

A la veille de leur quart de finale de Coupe de France contre Epinal, William Saliba, le défenseur de l’ASSE, et l’entraîneur Claude Puel étaient face aux médias.

Demain, l’ASSE va tenter de retrouver quelques couleur en quart de finale de la Coupe de France face à Epinal. Et surtout le goût de la victoire, les Verts restant sur huit défaites lors de leurs dix derniers matches de Ligue 1.

Face aux médias, il y a quelques minutes, le défenseur William Saliba, qui rejoindra Arsenal la saison prochaine, et l’entraà®neur Claude Puel ont affiché leur détermination. Ne pensant pas une seule seconde à une relégation en fin de saison.

William Saliba : On va se relever. On est une grande équipe avec de très bons joueurs. On ne pense pas à la descente. Dans nos tàªtes, c'est impossible d'y songer. Une victoire en Coupe de France nous aiderait pour reprendre confiance en championnat. On y va pour gagner à Nancy, bien entendu. On sort d'une semaine difficile. Comme le coach l'a dit, il faut qu'on se parle. On s'est dit les choses. On va essayer de rectifier nos erreurs. On était habitué à prendre très peu de buts. à‡a a changé. On doit comprendre de nos erreurs, s'améliorer. À nous de rectifier le tir dès demain.’

Claude Puel, lui, a tout d’abord reconnu que son groupe était touché. Et qu’il était difficile, en ce moment, d’avoir le sourire. ‘On ne peut pas tout le temps avoir le sourire quand on est dans cette période là . Il y a l'envie d'aller chercher cette réussite qui nous fuit et qui nous redonnerait confiance.’

Avant de donner de plus amples nouvelles de Zaydou Youssouf et de l’infirmerie. Zaydou va se faire opérer. Il sera tout neuf la saison prochaine. Il doit prendre son mal en patience. Quant à Boudebouz, il ne sera pas présent demain. Il a ressenti une gàªne à l'issue du match face à Montpellier. J'ai déjà vécu des périodes difficiles au niveau des blessures à Lille. On aimerait éviter tout à§a et avoir tout le monde sur le pont. Mais à§a ne sert à rien d'épiloguer, c'est un fait. Je n'aime pas subir une situation. Il y a peu de clubs qui ont fait autant de matchs que nous. On a réalisé des matchs pleins sur le plan physique. Puis on a joué tous les trois jours, et les blessures se sont accumulées. C'est une mauvaise spirale.’

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