par La rédaction

ASSE : Ghoulam sort du silence et livre ses vérités !

On ne l’avait pas entendu de l’été : dans les colonnes du Progrès ce jeudi, Faouzi Ghoulam a brisé le silence et livré ses vérités.

On ne l’avait pas entendu de l’été : dans les colonnes du Progrès ce jeudi, Faouzi Ghoulam a brisé le silence et livré ses vérités. Oui, il voulait bien partir : « J’ai 22 ans, c’est normal, je voulais découvrir autre chose. Cela fait depuis 1998 que je suis à l’ASSE. À un moment donné, tout le monde peut avoir envie de sortir de son quotidien et se donner des défis (...) Si j’ai perturbé l’ASSE dans sa volonté de recruter tel ou tel joueur, je m’en excuse. En tout cas, ce n’était pas mon intention de perturber le club, le staff ou le groupe», glisse-t-il tout d’abord.

« Pas mon intention de créer la polémique »

L’international algérien se défend aussi de toute provocation. Parmi les griefs qui lui avait été reproché : celle d’avoir brandi le drapeau algérien plutôt que les couleurs du club lors du défilé de la Coupe de la Ligue.« Peut-être que cela a dérangé le club. Mais ce n’était pas mon intention de créer une polémique. Ce jour-là, je voulais juste faire profiter de notre victoire au peuple algérien. L’ASSE est un club très suivi en Algérie. Je souhaitais leur faire partager mon bonheur.»

« Il s’est dit beaucoup de choses à mon sujet »

Sur les discussions entre le club et lui à l’issue du Mercato, Ghoulam n’en a pas trop dit, simplement heureux de l’épilogue : « Il s’est dit beaucoup de choses à mon sujet. Sur ma famille, ou les personnes qui gèrent mes intérêts (…) Ce que les gens ne savaient pas, c’est que j’étais tout le temps en relation avec le président. J’ai toujours eu de très bonnes relations avec lui. On se parlait une ou deux fois par semaine. De son point de vue, d’ailleurs, ce n’était pas une mise à l’écart (…) Entre moi et le club il n’y a pas eu de cassure. Il y a juste eu des discussions qui ont permis de remettre les choses à plat et de repartir sur de bonnes bases.»

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On ne l’avait pas entendu de l’été : dans les colonnes du Progrès ce jeudi, Faouzi Ghoulam a brisé le silence et livré ses vérités.

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