ASSE, RC Lens : ces joueurs que les commentateurs détestent

Et leur patronyme donne des sueurs froides aux commentateurs de football…

Pràªté la saison passée par Norwich, l’attaquant de Saint-à‰tienne Ricky Van Wolfswinkel a regagné l’Angleterre au mois de juin. Un soulagement pour de nombreux commentateurs, qui éprouvaient toutes les difficultés du monde à prononcer le nom de l’international néerlandais. Le milieu de terrain du RC Lens Lalaina Nomenjanahary fait également partie des bàªtes noirs des journalistes.

‘Van Wolfswinkel, je le prononce bien maintenant, mais la première fois, à§a partait en sucette et j'ai dû l'appeler Ricky, se remémore celui de Canal+ Olivier Rouyer dans les colonnes de France Football. Je me suis ensuite entraà®né chez moi. J'y travaille pour ne pas passer pour le bouffon de la classe. Canal m'a déjà demandé une ou deux fois d'àªtre plus concentré sur la prononciation. C'est une tuerie. Les noms malgaches, c'est affreux. Màªme chose sur d'autres patronymes étrangers. Pour moi, c'est un gros problème. Je ne sais pas si à§a fait partie du charme du consultant, mais c'est ma personnalité et je l'assume. Je parle trop vite donc je mélange les voyelles et je marche dessus. Màªme si, par exemple, le Lensois Nomenjanahary, je l'ai hyper bien prononcé rapidement.’

Son collègue de BeIN Sport à‰ric Di Meco a trouvé la parade concernant Van Wolfswinkel : ne prononcer que le prénom du joueur de 26 ans. ‘Nomenjanahary, quand on y arrive, ensuite, à§a va tout seul. Non celui où j'ai vraiment hésité avant de m'aventurer, c'est Van Wolfswinkel. Il faut aller vite donc dire ‘reprise de Ricky’, à§a va mieux que ‘reprise de Van Wolfswinkel’. Car sinon, le temps que tu finisses ta phrase, il est déjà de l'autre côté du terrain.’

Et encore, ces noms de joueurs, les commentateurs ne doivent jamais les écrire, eux…