Bernard Caà¯azzo, l’un des deux présidents de l’ASSE, a une fois encore évoqué la probable arrivée d’un investisseur américain.
La rumeur n’est pas récente, bien au contraire. Voilà des mois que Bernard Caà¯azzo, l’un des deux hommes forts de l’ASSE, tente de convaincre un investisseur, susceptible de mettre de l’argent au sein du club du Forez. Et de permettre aux Verts de franchir un cap, eux qui ne profitent pas, pour l’instant, d’une manne financière suffisante pour ràªver au Top 3 de la L1.
Alors qu’il a reprend sa place sur le devant de la scène, depuis quelques jours, Caà¯azzo a donc profité d’un long entretien au Progrès, pour en dire un peu plus sur le groupe providentiel. Américain, de toute évidence.
‘On a plus de chance de voir quelqu'un nous rejoindre cet été que l'inverse. On a un gros pouvoir d'attraction. Je sais avec qui je discute et je sais que l'intéràªt d'un partenaire américain, comme à Bordeaux, n'est pas de prendre la possession du club. Ils ne savent pas faire. Quand on ne connaà®t pas un environnement, il faut mieux apprendre à connaà®tre et se fiancer avant de se marier. Si ensuite les choses se passent bien, que c'est intéressant, que vous àªtes reconnus par les supporters en mettant l'argent à l'intérieur du club mais pas en le donnant aux actionnaires, on peut aller plus loin. S'ils sont là pour aider le club à grandir, à se développer, OK. Si ce sont ces prédateurs pour faire des plus-values sur les transferts, à§a ne m'intéresse pas.’
L.T.