ASSE : l’hallucinante volte-face de Bernard Caiazzo
Le président du conseil de surveillance de l’ASSE, Bernard Caiazzo, a estimé qu’il était indécent que ses collègues se battent au sujet du classement final.
Souvenez-vous : lorsque les compétitions ont été arràªtées mi-mars, Bernard Caiazzo s’est démultiplié dans les médias pour expliquer qu’il fallait sauver les clubs franà§ais de la faillite. Le président du conseil de surveillance de l’ASSE réclamait des aides de l’Etat, un geste, n’importe quoi pour sauver une Ligue 1 qui, sans recette, courait tout droit à la faillite.
Mais à§a, c’était avant. Voyant que ses camarades de l’élite se tirent dans les pattes pour savoir qui envoyer en Champions League, etc, Caiazzo a décidé de prendre un virage à 180°. Sur France Info, il a expliqué que tout cela était secondaire et qu’il fallait en priorité penser à la santé des gens, celle-là màªme qu’il ignorait un mois plus tôt”¦
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‘J’ai vu passer dix projets différents qui arrivent par email. Tout le monde a son projet. Je crois qu’il faut à un moment donner, dire qu’il y a des instances, il y a une Fédération, il y a une Ligue, il y a des gens qui votent de faà§on démocratique. Pour moi, les aspects classement, c'est secondaire. C’est màªme, dans cette situation, honteux d’entendre à§a. On n’est pas dans une démarche de ce type-là . Pour moi, c’est un faux problème. On ne regarde pas le sujet tel qu’il faut le voir. Le sujet est très simple. Il y a un plan de santé majeur. On pensait que fin avril, on allait rejouer. Après, c’était fin juin, en juillet. Maintenant on parle d'août. On n'en est pas sûr. Septembre, on ne sait pas. La priorité des priorités, c’est la survie de nos concitoyens.’