ASSE : Rémy Cabella, ce que l’on retiendra de son passage en Vert
En un an et demi, Rémy Cabella a disputé 64 matches et inscrit 15 buts pour l’ASSE, dont il a été l’un des éléments majeurs, sous l’ère Jean-Louis Gasset.
Il laissera une trace. Voici les 7 choses que l’on retiendra de RC7.
Son premier but
Dès son premier match contre Angers (1-1) en septembre 2017, Cabella avait marqué son premier but pour l’ASSE après 34 secondes de jeu. Des débuts parfaits.
Son penalty raté contre le PSG (1-1)
En avril 2018, les Verts sont à la lutte pour arracher une qualification en Ligue Europa. Contre le PSG, Cabella ouvre le score mais il rate un penalty qui aurait pu permettre aux Verts de faire le break, et les Parisiens finissent par égaliser dans le temps additionnel sur un csc de Mathieu Debuchy. « J’ai hésité à faire une Panenka », commentera RC7…
Sa grosse fin de saison 2018-19
Alors que Wahbi Khazri avait porté l’ASSE jusqu’en janvier, Cabella a pris le relais lors du sprint final. Son égalisation en fin de match à Amiens (2-2), sa superbe prestation à Monaco (3-2) : RC7 a été décisif dans le money time,pour aller chercher l’Europe. Ce qui lui a permis d’àªtre élu meilleur joueur de la saison.
Ses larmes contre Montpellier (0-1)
C’est en s’inclinant contre Montpellier que l’ASSE a laissé passer ses derniers espoirs de souffler la 3e place à Lyon. Et Cabella a été le héros malheureux de la rencontre en se faisant expulser, en fin de première mi-temps. C’est en larmes qu’il regagna les vestiaires, inconsolable.
Ses absences lors des grands matches
Si Cabella a inscrit 15 buts et délivré 10 passes décisives en une saison et demi avec l’ASSE, il a rarement porté l’équipe lors des grands rendez-vous. Il a notamment été très discret la saison passée contre les équipes du Top 3 (PSG, Lille, OL), avec un bilan de 6 défaites en 6 matches pour les Verts.
Son sourire Ultra Brite
De Cabella, on retiendra ce sourire, d’un blanc éclatant, sa joie de vivre, cet amour du ballon, du jeu qui le caractérise.
Son départ précipité
Et de Cabella, on retiendra aussi cette fin brutale, ce départ pour Krasnodar. Le joueur avait beau àªtre heureux à « Sainté », où après Jean-Louis Gasset, il allait àªtre entraà®né par son autre père spirituel, Ghislain Printant, l’appel de l’argent a été plus fort. Business is business !