ASSE : Verts de rage contre l'arbitrage
Encaisser un but à la 94e minute est un scénario cruel.
Encaisser un but à la 94e minute est un scénario cruel.
Encaisser un but à la 94e minute alors que le joueur adverse est hors-jeu d'un bon mètre l'est davantage. Les joueurs de Saint-Étienne sont bien placés pour le savoir, eux qui ont dû faire une croix sur un succès qui leur tendait les bras hier soir face à Bastia (2-2) à cause de l'égalisation tardive du défenseur corse François Modesto.
Seul l'entraîneur de l'ASSE Christophe Galtier tentait de mettre un peu d'eau dans son vin, conscient sans doute que des paroles trop appuyées pourraient lui valoir une suspension. Bien que regrettant ce but "pas valable" encaissé "alors que le temps additionnel avait été dépassé" , le technicien s'empressait ainsi d'ajouter que la durée des arrêts de jeu restait "à l’appréciation de l’arbitre" (il est d'ailleurs de coutume de laisser tirer un coup de pied arrêté dans les arrêts de jeu). Ce résultat n'en est pas moins "difficile à digérer" .
De même, et comme contre Toulouse, les attaquants ligériens ont eu l'occasion d'inscrire un but supplémentaire mais l'ont manquée. Autant de détails qui, lorsqu'ils seront réglés, permettront à l'ASSE d'être plus forte que ses adversaires... et que les décisions arbitrales.
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Les joueurs de Saint-Étienne ont mal digéré le but entaché d'une position de hors-jeu concédé face à Bastia (2-2). Mais ils ont aussi leurs torts.
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