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Ancien joueur des Girondins, de l’OGC Nice ou encore du LOSC mais sans club depuis le début de l’été, Adam Ounas (27 ans) tarde à rebondir. Alors qu’il était attendu du côté de l’Olympiakos en Grèce, l’international algérien devrait finalement prendre la route du Qatar et d’Al-Sadd après avoir été snobé par le dernier vainqueur de la Ligue Europa Conférence. Selon la Gazzetta, Ounas est arrivé avec un tel surpoids que le club du Pirée n’a même pas daigné lui faire passer de tests médicaux avant d’annuler son recrutement. Une version différente de celle du clan Ounas qui évoque un différent salarial pour justifier le fiasco de sa non-signature à Athènes.
Sans club depuis la fin de son contrat au LOSC, l’élégant Yusuf Yazici (27 ans) a trouvé son nouveau club. L’international turc s'est engagé pour trois ans du côté de l’Olympiakos… qui vient de recaler son ancien coéquipier Adam Ounas.
🔴⚪🦁 Welcome to 𝐎𝐥𝐲𝐦𝐩𝐢𝐚𝐜𝐨𝐬 Yusuf Yazıcı! pic.twitter.com/ql2XMzpBhi
— Olympiacos FC (@olympiacosfc) September 28, 2024
S’il a refusé de prolonger son contrat avec l’OGC Nice, Marcin Bulka a assuré, après son match héroïque à Bollaert contre le RC Lens (0-0) qu’il était encore pleinement concerné par le Gym :
« Je suis très impliqué sur le terrain avec l’OGC Nice. Il me reste deux ans de contrat. Je ne pars pas de suite. Les dirigeants, mes coéquipiers et ma famille savent que je suis très content à Nice. Je ne mens pas. Le terrain va parler. Je vais tout donner à 100%. Mon refus de prolonger ? On est en négociations. Beaucoup de choses peuvent se passer et il faut trouver le juste milieu entre nous. On va avancer… »
Licencié de Montpellier suite à une altercation avec son ancien coach Michel Der Zakarian, Mamadou Sakho a réglé ses comptes dans un entretien à Canal+ Afrique. Assurant vouloir porter plainte contre les journalistes de L’Equipe qui ont dit qu’il avait mis une balayette au technicien, l’ex-international tricolore a clarifié les faits, expliquant être simplement expliqué avec son coach sans violence après des propos qu’il n’avait pas apprécié :
« Je rentre dans la salle, sans insulte, sans manque de respect, mais la tension et le ton étaient là. Je dis "si vous avez un truc à me dire, dites-le-moi en face". Le coach vient vers moi, hystérique : "Quoi ? Je n’ai pas peur de toi" ! Il me pousse au niveau du torse, il se met front contre front. Je dis "mais en plus, tu me pousses ?". Après, on s’attrape par le col et je dis "tu ne lèves pas la main sur moi, je ne suis pas ton fils".
Sans geste, stoïque, sept, huit joueurs essaient de retirer mon bras, j’étais choqué de la scène, je ne maitrisais pas, mais je ne manquais pas de respect. Quand je le lâche, les joueurs présents poussaient, ce qui a fait tomber le coach. Il a dit qu’il n’avait jamais vécu une scène comme cela. Je n’ai pas été viré par Montpellier, car un joueur est normalement tout de suite mis à pied. Je ne vais pas mettre une balayette à un coach que j’ai défendu trois mois plus tôt lors d’un match contre Nice. J’ai pris le temps, je me suis dit qu’il fallait nettoyer mon nom ».
Si le SCO Angers connait une entame de saison galère, cela ne joue pas sur le confiance de la direction du club à l’égard du coach Alexandre Dujeux, qui a été prolongé samedi soir jusqu’en juin 2026.
Angers SCO est fier d'annoncer la 𝗽𝗿𝗼𝗹𝗼𝗻𝗴𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 de son 𝗖𝗼𝗮𝗰𝗵 Alexandre Dujeux jusqu'en 2026 ✍️
— Angers SCO (@AngersSCO) September 28, 2024
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