Présent devant la presse à deux jours de la réception du Paris FC, l'entraà®neur du RC Lens Antoine Kombouaré a fait un état des lieux. Morceaux choisis :
Chavarria, la fin de saison se complique
Hormis Chavarria et Valdivia, tout le monde est sur le pont face au Paris FC. On fait tout pour récupérer Pablo pour le dernier match, mais c’est une élongation. C'est minimum 10 jours. Maintenant, le classement nous donne archi-favori contre le PFC, il faut se concentrer dessus màªme s'il joue sa survie. Cette équipe va tout donner, elle ira au-delà . C’est fragile mais on devra faire un gros match.
Le RC Lens a vocation à jouer en L1, pas en L2
Quand vous prenez une claque, tout le monde est réceptif. Il y a l’envie de corriger. Il n’y a rien de mieux pour piquer les orgueils. Ce qui m’embàªte c’est d’avoir lâché à Nà®mes après 79 minutes intéressantes. Mentalement, on était au taquet, je n'en veux pas à mes joueurs mais on n'a plus de joker. On n'a plus notre destin en main. Il faut gagner. Ce n’est pas mission impossible. On ne va pas tout remettre en cause pour un quart d’heure raté. Lens est voué à retrouver la Ligue 1. Si ce n’est pas cette année, c’est l’année prochaine.
Les supporters forcent le respect de Kombouaré
La Ligue 2, je n’y vais pas s’il n’y a pas ce public exceptionnel, ces conditions de travail. J’ai peu de rapport avec eux car je reste à ma place mais je suis admiratif des supporters. Je vois la passion, c’est ce qui donne la force de travailler. Après, moi, je ne vais pas faire le clapping. Je ne fais de copinage avec les supporters, ils me jugent sur mon travail.
Julien Perez