SM Caen – RC Lens (0-2) : les 3 points clés de la victoire des Sang et Or

Grâce à un csc de Rivierez et un but de Simon Banza, le RC Lens s’est imposé sur la pelouse de Caen (2-0) ce samedi à d’Ornano. Analyse d’une purge.

Lens, c’est moche mais à§a engrange

Comme face à Châteauroux, le Racing a réalisé une prestation des plus minimalistes dans le jeu mais, in fine, cela fait six points pris sur six possibles et une équipe artésienne qui se replace au 7e rang de Ligue 2. A seulement deux points du leader provisoire havrais mais surtout avec la certitude de s’afficher à deux points de la seconde place après 8 journées, quel que soit le résultat de Lorient face à Rodez lundi. Pour l’instant, on s’en contentera.

Simon Banza, l’éclaircie dans le néant

Offensivement, cette équipe lensoise ne propose pas grand chose. Si l’on excepte le « un contre un » raté par Gaëtan Robail avant la pause, jamais Rémy Riou n’a pas été inquiété ce samedi à d’Ornano avant le but du « super sub » Simon Banza à la 83e minute. C’est bien simple, Lens n’avait cadré, avant cela, aucune de ses frappes face aux Caennais. Le premier but inscrit ? Un corner de Tony Mauricio sur lequel l’infortuné Jonathan Rivierez se positionne mal. Vu l’investissement conssenti sur des joueurs offensifs durant l’été, c’est trop peu ”¦ On notera malgré tout la importante prestation de l’ombre de Florian Sotoca, qui a gàªné Rivierez sur le premier but et qui s’est retrouvé passeur sur le second.

Le 3-4-3, c’est du solide

Si offensivement, le Racing paraà®t relativement faible actuellement, Philippe Montanier pourra toujours se consoler avec sa défense avec son trio d’axiaux Radovanovic, Diallo, Gradit. Face à un Caen en pleine déconfiture, l’assise a plutôt bien tenue. C’est bien simple, mis à part quelques sorties bien senties, Jean-Louis Leca n’a pas eu de boulot avant la 88e minute et un déboulé de Prince Oniangué.

Arnaud Carond