Le leader des Bad Gones, Joahn Silvestri, relaye beaucoup de messages d'extrême droite sur ses réseaux sociaux. Des messages qu'il a d'ailleurs effacé après une enquête de L'Equipe...
Depuis le 29 octobre et la funeste soirée marseillaise, les dirigeants de l'OL font la chasse à la Mesa, ce groupuscule de supporters lyonnais d'extrême droite, qui s'est distingué au Vélodrome avec des chants et gestes racistes. Déjà interdit de Groupama Stadium, la Mesa devrait être bientôt éradiquée de tout match de l'OL, qui ne veut pas voir son image associée à l'extrême droite. Sauf que L'Equipe démontre dans son édition du jour que ce combat est loin d'être gagné...
En effet, le quotidien sportif consacre un article à Joahn Silvestri, leader des Bad Gones mis en lumière par ses monologues devant les joueurs après la raclée contre Paris (1-4) ou le nul face à Clermont (1-1). Il s'avère que même si les BG87 sont apolitiques, leur capo est loin de l'être puisqu'il a relayé nombre de messages d'extrême droite sur son compte X ! Des messages supprimés après avoir pris connaissance que L'Equipe enquêtait sur lui... Le racisme n'est donc peut-être pas circonscrit à la Mesa dans le supportérisme lyonnais !
Le calendrier de l'OL pour la saison 2023-24
🦁 Le groupe pour notre déplacement à Rennes, ce dimanche à 17h05 👊🔴🔵#SRFCOL pic.twitter.com/xEZ08P0zvt
— Olympique Lyonnais (@OL) November 11, 2023
Les dirigeants de l'OL font la guerre au groupe Mesa, qui s'est distingué en mal au Vélodrome il y a deux semaines avec des gestes et chants racistes. Mais le leader des Bad Gones, Joahn Silvestri, relaye des messages d'extrême droite sur les réseaux sociaux...
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