Bien qu'il ait reconnu qu'il n'y avait jamais eu de menaces de mort à son égard lors de la fameuse réunion du 17 septembre, le président de l'OM, Pablo Longoria, n'a pas retiré sa plainte devant la justice.
Mardi soir, le président de l'OM, Pablo Longoria, a accordé une longue interview à RMC. Il voulait ainsi tordre le cou à un article de La Provence paru le jour même, qui assurait qu'il avait pris du recul au sein du club après les événements du lundi 17 septembre, quand une réunion avec les ultras avait dégénéré. Marcelino et Javier Ribalta ont démissionné après cela car des menaces de mort avaient été proférées, de même que de graves accusations. Sauf que dans son interview à RMC, Longoria a expliqué qu'il n'avait jamais été menacé de mort.
Seulement, on a appris mercredi matin dans L'Equipe que la plainte que le président de l'OM avait déposée après cette réunion était toujours d'actualité ! Ce qui veut dire que la justice va mener son enquête au sein des groupes ultras pour savoir qui a fauté. Une enquête qui ne manquera pas d'occasionner de nouvelles tensions entre la direction et les supporters...
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— Olympique de Marseille (@OM_Officiel) November 15, 2023
Le président de l'OM, Pablo Longoria, n'a pas retiré sa plainte à l'encontre des ultras après la fameuse réunion du 17 septembre qui avait dégénéré. A l'époque, il avait assuré avoir reçu des menaces de mort mais depuis, il est revenu sur ses propos.
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