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OM : le Top 10 des déclarations de Roberto De Zerbi
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Coach à l'identité de jeu ambitieuse, au caractère bien trempé et à grande personnalité, Roberto De Zerbi va devenir le nouvel entraîneur de l'Olympique de Marseille, qui a officialisé ce lundi un accord de principe avec le technicien italien. En attendant de voir l'ancien coach de Brighton sur le banc marseillais, But! Football Club vous propose de revenir sur 10 de ses déclarations les plus marquantes.
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Sa signature avortée à l'OM en 2022
"Oui c’est vrai qu’il y avait une possibilité pour moi de venir à Marseille. C’était une belle option pour moi mais on n’a pas trouvé d’accord avec le club. Mais au final c’était peut-être un mal pour un bien puisque j’ai trouvé un autre grand stade avec une grande équipe."
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Son amour pour le Vélodrome
"J’étais triste de ne pas être venu ici parce que ce stade, ces fans étaient une grande motivation pour moi."
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Bielsa, son modèle
"L’un de mes entraîneurs préférés est Marcelo Bielsa. J’ai regardé beaucoup de matches lorsqu’il était à Leeds. Un de mes amis m’a donné son numéro. Je lui ai expliqué qui j’étais, je lui ai demandé à pouvoir suivre une formation, il était à Lille à ce moment-là, il m’a rappelé personnellement en m’invitant moi et mon staff à passer une semaine avec lui. Un moment incroyable, un stage précieux : il nous a consacrées des heures d’explications. Le technicien est très bon mais ce n’est pas vrai que je lui ai tout pris : la gestion du rythme est différente, j’aime la faire varier alors que Bielsa va toujours à toute allure."
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Son admiration pour Guardiola
"Si vous me demandez si je m'inspire du Barça de Pep Guardiola, c'est évident. Mais je ne suis pas imitateur. J'étudie les équipes qui m'intéressent."
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Son amour pour le beau jeu
"La première chose que je dis aux joueurs, c’est de se souvenir de leur enfance. Sur les terrains de terre et de poussière, ils prennent du plaisir uniquement s’ils ont le ballon. Cela doit rester ainsi même lorsqu’ils sont professionnels. On doit avoir le ballon, le garder, avancer avec la balle aux pieds. Après on peut perdre, mais sans jamais renoncer à la beauté du jeu."
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Sa comparaison avec le numéro 10
"Le numéro 10 que je portais sur le terrain, je le garde comme entraîneur. Je veux aider les joueurs dans tout ce qui peut les aider à jouer à un jeu où il faut vivre ensemble. Ce n'est pas du tennis. Il y a 11 personnes qui ont besoin d'une autre pour se coordoner."
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Les joueurs
"Le problème du joueur, c'est qu'il n'est pas objectif sur ce qu'il fait sur le terrain. Moi en revanche, je suis plus objectif, car que ce soit l'un ou l'autre, ça m'est égal."
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Sa volonté de convaincre l'ensemble du club où il entraine
"J'aime travailler lorsque le directeur sportif est convaincu, le président, l'attaché de presse, la secrétaire, le photographe, les supporters..."
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Sa nécessité de tout contrôler
"J'aime comme mon équipe arrive au stade le dimanche et qu'elle sait tout. C'est la phase de préparation d'ordre essentiel. Il faut avoir étudié. Après, comme je suis un esprit libre, je suis en capacité de décider ce que je veux faire de ma vie."
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Sa vision de l'argent dans le football
"L'argent dans le foot, c'est comme dans la vie. Mais ce n'est pas parce que tu as une équipe bâtie avec des millions qu'elle va bien jouer au football. Certains de celles-ci ne font pas trois passes d'affilées."
