S'il semble acquis que, faute de grands entraà®neurs sur le marché, le Paris Saint-Germain fera confiance à Laurent Blanc jusqu'à la fin de la présente saison, Pascal Praud a encore un doute : « Qui entrainera le Paris Saint-Germain le mardi 17 février quand Chelsea viendra à Paris disputer la rencontre aller de Ligue des Champions ? Laurent Blanc ? Peut-àªtre. Je n'en suis pas certain », note le journaliste d'I-Télé et RTL.
La sortie de Nasser Al-Khelaà¯fi après Barcelone ? Un signe de condamnation pour l'ancien dirigeant nantais : « Le président ne soutient pas l'entraineur. On sait généralement comment à§a se termine. Personne ne sait ni le jour, ni l'heure. Mais le compte à rebours a commencé. Laurent Blanc marche sur un fil, suspendu à 3000 mètres d'altitude. Il est en équilibre et il y a beaucoup de vent. Les prochains matches seront décisifs : le déplacement à Ajaccio et l'accueil de Montpellier. »
S'il pense que le soutien de Thiago Silva est sincère, la manière dont le Brésilien l'a exprimé pose aussi problème : « Blanc ne tape pas sur la table. Blanc ne crie pas et refuse le rôle du garde-chiourme. Blanc compose et préfère la diplomatie. Les footballeurs sont des grands garà§ons. Il leur fait confiance. A Bordeaux, en équipe de France ou au PSG, Blanc applique la màªme méthode. Elle marche la première année. C'est plus compliqué la deuxième. »