La deuxième journée de Ligue 1 a confirmé l’impression née de la première, à savoir que l’AS Monaco, vainqueur de Montpellier (4-1), semble paradoxalement mieux rodée que le PSG, dont l’équipe-type a pourtant moins évolué.
Pour Pierre Ménès, les deux milieux excentrés parisiens, Javier Pastore et Lucas Moura, sont en partie responsables : les deux hommes en deviennent ‘exaspérants à force de ne jamais écarter le jeu‘ . Un rôle qu’accomplissent au contraire à la perfection les ailiers monégasques.
‘Si on doit commencer le petit jeu des comparaisons avec Paris, on aura remarqué que Ocampos et Carrasco, à la différence de Pastore et Lucas, font une différence incroyable sur les côtés.’
La rencontre face à Ajaccio (1-1) aura en tous cas donné du grain à moudre à ceux qui estiment que Paris doit encore s’attacher les services d’un ailier…