Le PSG et le Parc des Princes, ce n'est peut-être pas définitivement fini, contrairement à ce que Nasser al-Khelaïfi a pu dire. En effet, les élections municipales de 2026 pourraient rebattre les cartes.
A force d'escalades, le désaccord entre le PSG et la Mairie de Paris concernant le rachat du Parc des Princes a fini par atteindre un sommet. Au sortir du congrès de l'UEFA hier jeudi, Nasser al-Khelaïfi a annonçait que, devant le refus officiel d'Anne Hidalgo de lui vendre l'enceinte, il n'y aurait plus aucune négociation. Le club de la capitale va donc quitter la capitale pour construire sa propre enceinte en banlieue. Un coup dur pour tout le monde mais notamment pour les supporters, très attachés au Parc.
Dans son édition du jour, Le Parisien consacre deux pages à cette affaire. Et entrevoit une possibilité pour que le PSG reste finalement dans le stade de la porte d'Auteuil : les élections municipales de 2026. Si jamais Anne Hidalgo n'est pas réélue, la direction parisienne pourrait renouer le contact avec son successeur. "Construire un nouveau stade prendra dix ans alors que les prochaines élections sont dans deux ans", écrit le quotidien régional. Une possibilité cependant torpillée par les proches d'al-Khelaïfi, qui assurent que cela ne lui a jamais effleuré l'esprit. Mais la vérité d'un jour n'est pas celle du lendemain et ce feuilleton n'est plus à un rebondissement près...
Il reste un dernier espoir de voir le PSG rester au Parc des Princes : attendre les élections de 2026, en espérant qu'Anne Hidalgo ne soit pas réélue. En effet, la construction d'une nouvelle enceinte prendrait au total une décennie alors que la possibilité du rachat pourrait redevenir d'actualité dans deux ans.
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