Franck Haise : « ”¯Le premier sentiment, c’est la déception profonde, évidemment. Quand on fait ce métier depuis longtemps, qu’on est entraîneur, joueur ou supporter, on sait qu’on a parfois la chance de vivre des moments exceptionnels, et d’autres qui sont douloureux. Il faut les assumer, les vivre avec le courage nécessaire pour livrer un autre combat dans deux jours et demi (allusion au match de Monaco, dimanche à 13 heures NDLR)”¯
Ils (les joueurs de Fribourg, NDLR) ont été plus forts que nous dans le jeu aérien, sur les seconds ballons, dans le domaine athlétique. Si j’ai un regret, c’est qu’on a eu trois occasions de mettre le troisième. On est resté à la merci de cette équipe jusqu’au bout.
« Fribourg ? Je leur souhaite bonne chance pour la suite »
”¯Quand ça s’achève, il y a toujours de l’amertume. Je veux aussi dire que le club n’avait pas vécu d’épopée européenne pendant plus de 15 ans. On a grandi, on a pris de l’expérience, des coups aussi. Ça fait partie du sport. La déception prime aujourd’hui mais dans quelques jours, quelques semaines ou quelques mois, l’expérience de ces huit matchs nous servira à tous. Quand il y a un perdant, qui a souffert, il faut aussi félicité le vainqueur. Ce qu’ils ont réussi à à faire après la pause… Il faut les féliciter, je leur souhaite bonne chance pour la suite ».
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