Son attaquant, Kévin Fortuné, ne parvient pas à comprendre un tel scénario.
Comme ses partenaires, il a subi la foudre de Bollaert lundi dernier, avant màªme que le Racing ne s’incline sur sa pelouse face à Bourg-en-Bresse. Banderoles, chants hostiles, moqueries, les joueurs d’Eric Sikora ont eu droit à tout. Une situation alarmante sur laquelle est revenu Kévin Fortuné, dans des propos accordés à MaLigue 2 et retranscrits par Madeinlens. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il ne comprend guère une telle situation.
‘C'est quasiment la màªme équipe que l'année dernière, on a tous nos automatismes et on se connaà®t. On a eu le renfort de joueurs plus expérimentés mais à§a ne veut pas : on a peur de mal faire et à§a se ressent sur le terrain. Dans le vestiaire, on est soudés, on se parle pour sortir le club de cette passe parce qu'il ne mérite pas d'àªtre à cette place. Le week-end, on essaie de mettre tout en place mais il manque encore ce petit brin de chance qui nous fera redécoller. Ce n'est pas un gros feu mais c'est à nous de l'éteindre. On a tout : un staff compétent qui nous aide beaucoup, un coach qui nous soutient et nous transmet de bonnes paroles. Maintenant, c'est à nous de renverser la vapeur et d'aller chercher un point qui nous fera du bien dans la tàªte.’
Prochain rendez-vous, samedi, sur la pelouse du leader, le Stade de Reims.
L.T.