Real Madrid : Camavinga ouvre les vannes, Kroos vers un nouveau contrat ?

Alors qu’Eduardo Camavinga s’épanouit plus que jamais dans les rangs du Real Madrid, son coéquipier Toni Kroos a tout fait pour gagner une prolongation de contrat en fin de saison.

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But ! Football Club
25 septembre 2022 11h24

Eduardo Camavinga commence à se lâcher dans les rangs du Real Madrid. « Je suis le même qu'il y a trois ans. Je suis un garçon intelligent qui ne perdra pas la tête pour le succès. Je suis un gars souriant, un soleil. Je changerais seulement ma jambe droite : c'est très mauvais, a-t-il souri dans As. Je suis un extraverti, je parle à tout le monde. Mon adaptation a été facile et rapide. Mes meilleurs amis sont les Français, mais je parle à tout le monde. Un peu plus avec Tchouameni, Rüdiger, Benzema ou Alaba. Mes référents ? J'ai beaucoup appris de ModriÄ‡ et Kroos. Pas seulement ce qu'ils font sur le terrain mais aussi ce qu'ils font en dehors : faire du sport après l'entraînement, se reposer… Ce sont des choses auxquelles j'applique moi-même parce qu'ils sont bons pour moi. »

Relancé sur son amour du maillot du Real Madrid, l’ancien milieu de terrain du Stade Rennais (19 ans) ne s’en est jamais caché. « Jouer pour le Real Madrid est mon rêve depuis que je suis petit. C'est le meilleur club du monde et quand ils sont venus me signer, je ne doutais pas que je voulais venir, a-t-il poursuivi avant d’évoquer Carlo Ancelotti. C’est une personne qui parle beaucoup avec tous ses joueurs. Que je sois titulaire ou remplaçant, il me donne toujours beaucoup de confiance. »

À ses côtés, Toni Kroos (32 ans) ne pâtit pas du départ de Casemiro à Manchester United. Après un excellent début de saison, le quotidien madrilène estime que le milieu de terrain allemand a gagné le droit d’être prolongé en juin 2023. L’intéressé a en effet amélioré tous ses registres (précisions de passes, centres, récupérations, tirs). « Il n’y aura aucun problème pour parvenir à un accord entre le club et Kroos si les deux parties veulent continuer ensemble », conclut le journaliste Antonio Villar.